Le journal israélien Yediot Aharonot écrit qu’il n’y a aucune menace de mort qui pèse sur Hariri et que ce dernier est en quelque sorte un larbin de Riyad.
Le journal israélien, Yediot Aharonot a écrit dans un article sur la démission du Premier ministre libanais, Saad Al-Hariri : « Le fait que Hariri ait choisi l’Arabie saoudite pour annoncer sa démission n’est pas une surprise parce que les Saoudiens sont ses mentors. Les déclarations de Hariri sur les mains derrière les rideaux qui chercheraient à l’assassiner ne sont rien de plus que des prétextes. »
Yediot Aharonot a poursuivi ainsi : « Les meilleurs discours écrits en Israël contre le Hezbollah et contre l’Iran n’arrivent pas à la hauteur du discours anti-iranien et anti-Hezbollah de Saad Hariri. »
« Les Saoudiens sont en train de préparer le terrain à des affrontements avec l’OTAN et les rapports venant de Beyrouth révèlent que le Hezbollah est en ce moment en état d’alerte et prêt à essuyer une attaque », ajoute le journal israélien.
« C’est la famille royale saoudienne qui a fait sortir Hariri des luxueux palais parisiens et qui l’a jeté dans la bataille pour le poste de Premier ministre du Liban », indique aussi Yediot Aharonot.